Soutien psychologique - Ur international FR

Soutien psychologique

Soutien psychologique

Soutien psychologique : très souvent, l’accompagnement psychologique est essentiel pendant le traitement.

Une série d’émotions et de situations qu’il faut comprendre et savoir gérer se succèdent.

Notre Unité de Soutien psychologique aidera à tout moment le patient à savoir gérer le stress, les différentes phases du traitement et le contrôle des émotions qu’il peut rencontrer au cours du processus.

Problèmes psychologiques fréquemment associés aux difficultés de la conception

  • Émotions négatives comme la peur, l’anxiété, la dépression, le sentiment de culpabilité, le faible estime de soi, la colère, la sensation d’impuissance, le désespoir…
  • Conflits du couple et interférences sur la vie sexuelle.
  • Problèmes avec l’entourage familial et social quand ce dernier est peu sensible à la situation.
  • Beaucoup de personnes concernées se sentent très seules face à leur problème quand il leur manque une personne de confiance à qui parler ouvertement de leur situation difficile.

En plus des conseils psychologiques d’ordre général dans tout le processus (voir plus haut), les différentes phases du traitement de fertilité peuvent être renforcées par un traitement psychologique spécifique complémentaire du traitement médical.

Avant le traitement

Nos conseils psychologiques proposent un espace destiné à apporter des réponses à des questions importantes telles que: Quelles options de traitement envisagez-vous ? Comment voulez-vous contrôler la pression ou l’incompréhension de l’entourage familial et social ? Quelles personnes voulez-vous informer du traitement…

Pendant l’attente du résultat du traitement

Si vous n’êtes pas sûr, si vous êtes stressé ou si vous avez peur du résultat, une professionnelle de la psychologie de la fertilité peut vous aider à surmonter le stress émotionnel et à supporter la situation de façon plus tranquille et sereine.

Après le traitement

Si la femme est tombée enceinte: nos conseils psychologiques peuvent aider à contrôler les nouvelles peurs en rapport avec la grossesse.

Si le traitement n’a pas (encore) débouché sur une grossesse : nous cherchons avec vous la voie permettant de surmonter cette phase difficile, en vous accordant du temps et un espace dédiés à votre tristesse. Ensemble, nous pouvons étudier la manière dont vous pourrez aborder votre vie, qui et quoi pourra vous aider.

S’il n’y a plus de possibilité d’aller de l’avant ou si vous ne voulez pas poursuivre le traitement, nous pouvons vous soutenir en acceptant la situation et en développant de nouvelles perspectives et alternatives.